travail de Chu Chun

La science des rêves

Michel Gondry, le géant visuellement créatif derrière certains des clips vidéos les plus stylistiquement innovatrices de MTV, et plus récemment la force motrice derrière son et brillant Eternal Sunshine de scénariste extraordinare Charlie Kaufman of Spotless Mind, fait enfin ses débuts solitaire, en choisissant d'écrire et de diriger ce conte surréaliste du rêve, la réalité et les lignes des gens marchent entre eux. Les fans de la virtuosité visuelle doivent avoir été anticipent déclaration officielle de Gondry comme auteur depuis un certain temps, après avoir salivé pendant une décennie maintenant que ce réalisateur français continuellement repoussé les limites pour les musiciens chanceux.

Je suis sûr que beaucoup ont vu La Science des rêves comme un terrain d'essai qui aiderait les fans de voir si le réalisateur excentrique serait capable de faire fructifier tous ces aspects visuels créatifs dans une expérience cinématographique plus solidaire. En gros, le film dangereusement imaginative réussit sur ​​son propre, mais il ya quelques différences sont à noter. Tout d'abord, il ne se sent qu'une grande partie de la façon dont le film est tourné, en particulier les scènes qui restent les plus ancrés dans la réalité, faire imiter un grand nombre de valeurs de production qui ont donné Eternal Sunshine une telle valeur réaliste détaché à elle. Idem avec beaucoup de script flux de la conscience, à la fois l'émulation fortement le flux Gondry et Kaufman a contribué à lancer la première fois autour. L'intrigue réelle est décidément low-key, et pour une bonne raison, si parfois Gondry fait mal à remplir l'ensemble de ses microcosmes avec pertinence. Pour dire que ces valeurs restent dérivé et ne se complètent pas complètement le conte fantaisiste sombre qui se déroule ici cependant, serait de renoncer à la joie fantastique et singulier que la Science des rêves est.

Indépendamment de sa constante français noodling avant-garde, et en dépit des parallèles évidents avec le précédent film de Gondry, La science reste un quasi-chef-d'oeuvre, ponctuée par le rythme enivrant de ses séquences de rêve perceptives, souvent éditées avec le plus vif des intentions. Que les téléspectateurs vont rester immergés dans toute la fantaisie de purge en sera à celles seuil subjectif, et ceux capacité à prospérer hors de la stimulation par magie dérangé qui fait allusion à sous-tend la pertinence psychologique. La stimulation magistrale de Gondry ne déçoit pas, culminant avec la brillante évolution de ton extrêmement ludique de l'écriture en quelque chose de beaucoup plus grave.

Bien sûr, le matériel sincère ne serait à la maison quand récité par les acteurs d'un cœur pur, et dans ce Gondry excelle également en jetant deux fils qui font tout ce qu'ils peuvent pour nous impliquer dans la fantaisie réaliste. Gael García Bernal, faisant toujours bien de prendre du bon matériel, glisse enfin dans un rôle de langue anglaise à l'aise, je m'attends, et la lumineuse encore discrète Charlotte Gainsbourg rayonne la nature terrestre de la magie que ce film est tout au sujet. Les personnes atteintes de programmes stricts objectifs restent clairs, quiconque utilise encore une idée de leur imagination, veuillez plonger po Il ne peut pas être parfait, mais la science est sûrement l'un des fantasmes les plus uniques et perspicace de fusionner avec la conscience de masse des années.