Critique du film : Les Parapluies de Cherbourg(1964)

Les Parapluies de Cherbourg(1964)

J'ai choisi ce film car on a un peu travaillé dans la classe et aussi il y en a un chez nous.

ATTENTION : ce qui suit dévoile tout du film

Le récit de ce film est simple grâce aux 3 découpages avec son mouvement composé. Premier chapitre, "le Départ" : une jolie jeune fille Geneviève, 17 ans, vit avec sa mère veuve en tenant un magasin de parapluies. Elle est amoureuse de Guy, 20 ans, qui travaille dans un garage. Ils veulent se marier mais sa mère s’oppose à leur amour. Un jour, Guy reçoit sa lettre de convocation : il doit partir pour 2 ans en Algérie. Deuxième chapitre, "l'Absence" : après le départ de Gyu, Geneviève se rend compte qu’elle est enceinte. Bien qu’elle ait écrit une lettre à Guy, elle s’inquiète toujours. Un jour, à cause du manque du fond de magasin, sa mère essaye de vendre ses bijoux. Et elles rencontrent Roland Cassard, un bijoutier. Il tombe amoureux de Geneviève et il la demande en mariage en acceptant le futur enfant. Elle finit par accepter sa demande. Pour non seulement l’espérance de sa mere mais également son anxiété de la vie d’un enfant sans père. Enfin, le chapitre "le Retour" : Guy rentre de l’Algérie. Il désespère dès qu’il s'aperçoit que Geneviève n’est pas à l’attendre. Mais grâce à l’encouragement de Madeleine qui vit avec la mère de Guy, il oublie Geneviève. Et enfin, il se marie avec Madeleine. A la fin du film, Geneviève et Guy se voient dans la station-service où Guy tient avec sa famille. Alors qu’il y a leur fille qui s’assoit dans la voiture de Geneviève, Guy refuse de la voir et ils se séparent.

Comme tous les oœuvres de Jacques Demy, tous les éléments du décor coloré typique des années 60 sont remarquables. Le récit a beau avoir pleine de tristesse d’amour, le film est vivant aux couleurs chatoyantes comme les bâtiments pastel, les vêtements coquets, la coiffure et le maquillage brillant. Et la musique de Michel Legrand est aussi distinguée. Elle est omniprésente dans ce film même des paroles. La musique de ce film est devenue célèbre dans le monde entier. Surtout dans mon pays au Japon, ce film est marqué l’époque des années 60. C’est pourquoi les gens qui ont âge de la soixantaine d’années ont nostalgie de leur jeunesse par ce film : une admiration pour l’amour d’adulte et la fragilité d’amour.

Par contre, à cause de trop d’attention à la couleur et au décor, il semble que Jaque Demy oublie quant au récit. Il est un peu insignifiant. Par exemple, il trouve difficile que Guy et Madeleine soient devenus ensemble car ils vivaient comme un frère et une sœur et ils n’étaient jamais ensemble dans un premier et deuxième chapitre. Il n’y avait aucune situation amoureuse entre eux. Ensuite, trop de couleurs chatoyantes, les chansons aériennes, avec des costumes et le style de coiffure très marqués gâchent les sentiments tristes des personnages. Enfin, la musique ultra-répétitive nous ennuie et manque d’intérêt. En effet, les paroles avec mélodie rendent le récit ridicule même si c’était une histoire de complexe d’amour, même si Jacque Demy dépeignait le hasard et la fatalité en amour.